Association France Palestine Solidarité - Isère / Grenoble

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Echirolles, 11 avril 2013: Hommage à Mahmoud Darwich à La Rampe, poèmes et spectacle "Le cantique des cantiques

 Le 11 avril 2014,  à Echirolles, deux manifestations culturelles en hommage à la culture palestinienne, salle La Rampe.


De 18 h 30 à 19 h,  dans l'Espace Pablo Neruda de La Rampe, lecture publique de textes  du poète palestinien Mahmoud Darwich,  par des adhérents d'Echirolles Palestine Solidarité. Entrée gratuite.
 A partir de 20 heures, à La Rampe, spectacle de Rodolphe Burger "Le cantique des cantiques" et hommage à Mahmoud Darwich.                                      Billets tarif de groupe possibles,à 18 euros,en s'adressant à (Objet "Darwich") : afps38@yahoo.fr

Sur le site La Rampe-Echirolles :

Le Cantique des cantiques & Hommage à Mahmoud Darwich

Rodolphe Burger
PLEIN TARIF 21€ | RÉDUIT 18€ | ABO 15€ | JÉD 9€ | ABO JÉD 8€ | 6€ *

Un univers musical en constante expansion : entre rock mutant, boucles de mélancolie obsessionnelles, jungle de samples, électronique acide ou lunaire et poésie contemporaine, impossible de ranger l’œuvre de Rodolphe Burger dans une seule boîte. Pour cette soirée il nous offre une rencontre entre deux poèmes d’amour, l’un en hébreu, l’autre en arabe : le Cantique des cantiques passage de l’Ancien Testament mis en musique pour Alain Bashung et S’envolent les colombes du poète palestinien Mahmoud Darwich.

« Rodolphe Burger, l’ancien leader de Kat Onoma est un défricheur, un musicien virtuose qui construit des passerelles entre les sons et tisse des liens entre les hommes et les cultures. (…) Les univers de Darwich et de l’Ancien Testament se télescopent, comme pour mieux faire apparaître leurs origines communes. Très beau moment. On est proche du recueillement. »
L’Hérault du jour – mars 2010

Un concert hypnotique et envoûtant.

www.rodolpheburger.com

En co-accueil avec le Centre International des Musiques Nomades / Festival Détours de Babel

Rodolphe Burger guitare, chant l Mehdi Haddab oud l Julien Perraudeau basse, clavier l Yves Dormoy électronique, clarinette l Ruth Rosenthal, Rayess Bek chant l Jérémie Cusenier lumière l Philippe Dubich son l Julien Hulard retour son l Ludovic Millet backline l Muriel Morvan régie

Coproduction Cie Rodolphe Burger, Scène nationale de Sète et du Bassin de Thau, Wart l la Cie Rodolphe Burger est conventionnée par la DRAC Alsace - Ministère de la Culture et de la Communication l production déléguée Scène nationale de Sète et du Bassin de Thau

 

 

Rien qu’une autre annéeMahmoud Darwich

Rien qu’une autre année
Anthologie poétique (1966-1982)
Traduit de l’arabe par Abdellatif Laâbi

1983   240 pages  22 €

Cet ouvrage se compose de poèmes écrits entre 1966 et 1982 :
Un amoureux de la Palestine (1966) regroupe trois poèmes : À ma mère, Poème sur un amour ancien, Mon père.
Fin de la nuit (1967) regroupe sept poèmes : L’impossible, Rita et le fusil, Soldat rêvant de lys blancs, Chanson naïve sur la Croix-Rouge, Remarque sur la chanson, Le tué n°18, La chanson et le sultan.
Les Oiseaux meurent en Galilée (1970) regroupe neuf poèmes : Pluie douce en un automne lointain, Les oiseaux meurent en Galilée, Buée sur le miroir, Rita, aime-moi, Étranger dans une ville lointaine, La chute de la lune, Le cent cinquante et unième cantique, La cellule n’a pas de murs, Le rideau se baisse. Ma bien-aimée se réveille (1970) regroupe trois poèmes : Écriture à la lueur d’un fusil, Chronique de la douleur palestinienne, Passeport.
T’aimer ou ne pas t’aimer (1972) regroupe cinq poèmes : Cantiques, Le guitariste ambulant, Encore une fois, Le passager, Sirhan boit le café à la cafétéria
Essai numéro 7 (1972) regroupe quatre poèmes : Comme si je t’aimais, La sortie du littoral méditerranéen, Le fleuve est étrange, Et tu es mon amour, Gloire à cette chose qui n ‘est pas arrivée.
Noces (1977) regroupe sept poèmes : Noces, Il était ce qui adviendra, Aux épées des assassins, Ahmad Azzaâtar, Le poème de la terre, Le jardin endormi, Ainsi parla l’arbre délaissé.
Les Souterrains (1978)
Rien qu’une autre année (1982)

 

La revue de presse :  Tahar Ben Jelloun (Le Monde) :

« Que peut la poésie pour l’enfant ayant grandi dans les blessures ? Comment dire le pays enseveli dans le souvenir de plus en plus lointain, épais et tremblant ? Pour le Palestinien Mahmoud Darwich, il reste le corps et les mots, citadelle abritant une douleur d’orgueil. Il reste l’errance pour un peuple voyageant dans “ la caravane ininterrompue de l’exode ”.
Mahmoud Darwich a deux métiers : la poésie et le souvenir. Parfois les deux se rejoignent Avec le poème, le souvenir devient miroir, échelle pour le temps et défaite du sommeil et de l’oubli.
Célèbre dans le monde arabe, il n’est pas pour autant ce qu’on appellerait un “ poète militant ”. Son engagement est dans l’écriture, dans la poésie ; il est loyal envers l’imaginaire de son peuple, de tout peuple voué à l’errance Rien à voir avec cette poésie qui brandit les slogans et ruine la beauté et l’émotion. Darwich est un poète épique. »

 

Extraits des poèmes de Mahmoud Darwich ici : Paroles de prophète ?

     

 


20/03/2013

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